Europe et Mondial

Paris: Deux Tunisiens arrêtés en possession de bijoux d’un valeur de 35 milliards

 

Deux hommes ont été interpellés samedi à Paris en possession de nombreux bijoux de luxe estimés à un montant total de près de 10 millions d’euros (soit environ trente-cinq milliards  tunisiens), a indiqué ce dimanche le parquet de Paris, rapporte le Parisien.

Un contrôle de routine. Dix millions d’euros en valeur marchande cachés… dans un slip, et une disqueuse dans une valise. Deux hommes, dont un mineur, ont été interpellés à leur descente de train, samedi 30 août, à la gare de Lyon (Paris XIIe), a appris le Parisien de sources concordantes.

Le parquet de Paris, contacté, indique avoir ouvert une « enquête pour recel de vol en bande organisée ». Les investigations ont été confiées à la Brigade de répression du banditisme (BRB) de Paris. Une information judiciaire pourrait être ouverte ce lundi 1er septembre.

Il est environ 11 heures, samedi, lorsque des policiers de la Brigade des réseaux franciliens (BRF), en patrouille à la gare de Lyon, décident de contrôler deux hommes à leur descente d’un TGV en provenance de la capitale des Gaules. Et les agents ont eu du flair. L’un d’eux planque, dans son slip, une chaussette lestée de nombreuses pièces de haute joaillerie et d’une Rolex. Il porte aussi un couteau. Avec dans leur valise, une disqueuse.

Un collier à 5 millions d’euros

Ces deux Tunisiens – l’un est mineur – sont défavorablement connus des services de police. Ils sont d’abord placés en garde à vue dans les locaux du commissariat du XIe arrondissement. Mais après évaluation du préjudice, dont le montant faramineux nous a été confirmé par le parquet de Paris, c’est bien la BRB — qui enquête généralement sur les vols de plus 50 000 euros — qui est saisie.

Dans le butin, un collier d’une valeur estimée à 5 millions d’euros, des boucles d’oreilles à plus de 2 millions d’euros, une bague à 1 million d’euros… Mais aussi une montre de luxe et d’autres bijoux. Soit 10 millions d’euros de préjudice, une première estimation que l’enquête devra confirmer ou réévaluer.

Le Parisien

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page