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Célébrités née en Tunisie: Raoul Journo

Un chanteur Tunisien de confession juive, et compositeur de musique arabo-andalouse.
Raoul Journo, le trésor de la chanson tunisienne, débute sa carrière à l’âge de 9 ans avec les enfants de chur à son passage à l’Olympia.
Notre star représente parfaitement le chant Tunisien et la culture de son pays natal, il est connu par son esprit nostalgique et sa beauté artistique.
La star tunisien a quitté ce monde le 22 novembre 2011, mais, en vérité, il est toujours vivant, parmi nous, à travers ses chansons de louanges qu’on les trouve dans nos cérémonies, que ce soit naissance, avec sa fameuse chanson, « kabla ya makboula », ou encore pèlerinage « Tahar ya mtahar »
Sans avoir manquer les fêtes de mariage où ses musiques sont reprises par les orchestres lors de ce type de soirée, dont on peut citer les chansons les plus écoutées « taalilat laaroussa » « ya mahfal ritouch Khadija » « ala khadak boussat khal … »
Pour ceux qui ne connaissent pas Raoul Journo,
Raoul le chanteur Tunisien quitte la Tunisie à l’âge de 54 ans pour qu’il s’installe à paris en 1965, mais notre célèbre est toujours attaché à ses origine, fidele à son pays natal qu’il visita à plusieurs reprises, pour faire peu de temps après sa fameuse chanson « sallamet fik ya bladi » qui a connu un succès énorme à son époque.
Quand on dit Raoul, on dit « la yguella » « zine el bedouia » « aala bab darek… » Ces chansons sont les titres les plus répondus à la radio Tunisienne jusqu’à nos jours.
Mais aussi quand on dit Raoul Journo, on dit la fête tunisienne traditionnelle et moderne, Raoul a pu survivre deux époques à travers ses compliments répétés dans nos cérémonies tout en créant la réjouissance en chantant « ya nes hmelt » « ya ghanja »
Le trésor de la chanson judéo-arabe réalise en 1999 le concert de Genève en suisse en Cybercast live diffuse dans le monde entier, il réussi sa carrière de 70 ans par la remise de son trophée par le Casino de Paris.
Connu par son style unique d’humour et d’audace, par sa passion à son métier, par ses chansons réjouissantes, teintées et vivantes, notre chanteur finit par être inhumé à Jérusalem le 22 novembre 2011, avec une grande tristesse de la population Tunisienne et arabe d’avoir perde l’un des fondateurs de la chanson tunisienne.
écrit par:Fatma sassi

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