Le Tunisien Hédi Tlili élu président de l’Organisation africaine de soutien aux enfants sans soutien familial : pour la sécurité et la protection globale des mineurs à travers l’Afrique

À un moment charnière marquant un tournant décisif dans la lutte pour la protection de l’enfance en Afrique, le Tunisien Hédi Tlili a été élu président de l’Organisation africaine de soutien aux enfants sans soutien familial, une organisation transnationale dédiée à la défense des groupes les plus vulnérables : les enfants victimes de la pauvreté, des conflits et de la traite humaine.

Un honneur pour la Tunisie, une lourde responsabilité pour Tlili

Cette élection intervient à un moment critique, alors que les crimes liés au trafic d’organes d’enfants connaissent une inquiétante recrudescence. Ce fléau, l’un des plus odieux menaçant l’avenir des enfants africains, s’opère dans l’ombre par des réseaux internationaux exploitant les fragilités économiques et sociales de plusieurs pays.

Ce qui rend cet événement décisif, c’est l’annonce faite par Tlili dès son investiture : une campagne sans précédent sera lancée pour combattre ce crime abject, une campagne ambitieuse, multidimensionnelle et radicale, dont la légitimité puise dans les larmes des enfants sans voix et dans l’enthousiasme des pays africains décidés à stopper l’hémorragie.

À propos de l’Organisation africaine de soutien aux enfants sans soutien familial :

• Présente dans 18 pays africains

• A contribué à la construction de nombreuses écoles

• A mis en place une expérience d’accueil complet pour les enfants : (éducation, formation, soins, hébergement)

• Elle est considérée comme l’organisation la plus active, avec de nombreux projets futurs dans d’autres pays.

Une campagne inédite : mobilisation artistique, législative et terrain

Selon le communiqué de l’organisation dirigée par Tlili, cette campagne comprendra :

• Des concerts mondiaux réunissant des artistes engagés internationalement, en soutien à la cause des enfants africains.

• Un grand festival de cinéma dédié aux films traitant du trafic d’organes d’enfants, avec concours et prix à la clé.

• Des expositions photo choc, sous le slogan « Interdit aux cœurs sensibles », organisées simultanément dans plusieurs capitales africaines, pour révéler en images ce que les rapports dissimulent.

• Un forum mondial pour des législations alternatives, réunissant experts du droit, de l’enfance et des droits humains, pour formuler des cadres juridiques plus dissuasifs.

• Une conférence de presse internationale, pour mettre en lumière la réalité sur le terrain et dévoiler les bénéficiaires du trafic d’organes.

• Des capsules de sensibilisation mondiales avec des célébrités des cinq continents, pour créer un élan populaire contre ces crimes.

• La création de centres pluridisciplinaires dans les zones à risque, offrant soins de santé, éducation et formation professionnelle aux enfants.

• Le lancement d’une plateforme numérique spécialisée dans la surveillance et la dénonciation en temps réel des pratiques de trafic d’organes.

• La fondation d’un centre de recherche international dédié à l’étude des enfants sans soutien et à l’analyse des racines profondes du phénomène.

• Des bulletins électroniques multilingues diffusés dans tous les pays membres, pour renforcer la conscience collective.

• Un prix annuel décerné aux leaders politiques les plus engagés dans la lutte contre ce crime, en hommage à leurs efforts et pour ancrer la culture de la responsabilité.

Un combat parmi d’autres

Cette campagne ne constitue qu’un maillon dans une chaîne d’initiatives qui placent l’enfant africain au cœur de leur action. Car les défis sont énormes : le trafic d’organes n’est qu’un symptôme de l’effondrement des valeurs et des mécanismes de contrôle dans certaines régions du continent.

Mais cette fois, la réponse vient d’Afrique, portée par une voix tunisienne, ferme et convaincue : les enfants d’Afrique ne sont pas à vendre et méritent un avenir digne.

« Nous œuvrons jour et nuit pour qu’une nouvelle aube se lève sur l’enfance africaine… Notre devise : un enfant en sécurité dans sa vie, son quotidien et sa santé. »

Qui est Hédi Tlili ?

Hédi Tlili est un poète et journaliste tunisien résidant en Arabie saoudite. Il est originaire de Sfax, en Tunisie, une ville qu’il décrit comme « ma précieuse larme ». Il est auteur de plusieurs ouvrages, parmi lesquels :

• Le Modèle de divertissement permanent

• « Le Corona » vu par trois penseurs

Il a fondé de nombreux événements culturels en Tunisie et en Arabie saoudite.
Il est actuellement président du projet « Lune du désert ».
Il publie régulièrement des articles et analyses culturelles et médiatiques dans des journaux tels que Al-Jazirah, avec des titres marquants comme :

• « L’Arabie Saoudite et la Tunisie, deux cœurs au même rythme »

• « L’Arabie Saoudite persévérante »

Il est également fondateur du Salon international du jouet pour enfants.
Il a reçu la médaille du mérite culturel en 2003 / 2043 (selon mention).
En 1999, il a publié un recueil de poésie intitulé « Les Feuilles du Soleil », suivi en 2001 de « Les Cauchemars de Don Quichotte », classés parmi la littérature arabe/poésie à la bibliothèque du Parlement tunisien.

Parmi ses articles remarquables figurent des contributions à l’histoire et à la culture tunisiennes, comme un article sur la ville de Fériana et son rôle dans la mémorisation du Coran et la transmission du savoir islamique, publié en juillet 2022.

Il a marqué ses pairs par sa culture généreuse, son attachement au monde journalistique, et ses hommages touchants à ses collègues disparus, notamment Mohamed El-Kebbi.