
La société Universal Auto Distributors Holding « UADH », porte à la connaissance de ses actionnaires et le grand public, que les informations relayées par le site électronique www.ilBoursa.com à travers l’article paru le 17/11/2021 intitulé « Citroën : Groupe Loukil perd officiellement ses recours contre STAFIM Peugeot », sont totalement erronées et infondées et n’ont aucun lien avec la réalité des choses.
En fait, tel qu’indiqué dans la lettre de notre cabinet d’avocats mandaté dans l’affaire, jointe à ce communiqué, nous avons le plaisir de vous communiquer les vraies et réelles informations :
- Contrairement au titre de l’article paru, le groupe LOUKIL n’a pas perdu ses recours contre STAFIM Peugeot car les décisions auxquelles se réfère l’auteur sont rendues en matière de référé et n’ont aucune incidence sur le fond du litige.
- Contrairement à ce qui a été prétendu par l’article, la décision du Ministre du Commerce, objet du recours devant le Tribunal Administratif, n’a pas concerné toute la gamme de voitures de la Société STELLANTIS mais uniquement les véhicules utilitaires de la marque Citroën.
- Contrairement à ce qui a été publié par l’article, le contrat liant AURES AUTO à Automobiles Citroën ne prend pas fin le 31 décembre 2019 mais le 31 décembre 2022 et ce, conformément à l’arrêté du ministre du commerce No 2413 du 3 janvier 2020. Un recours contentieux vient d’être présenté en France contre la Société Automobiles Citroën pour rupture abusive du contrat.
- Contrairement aux chiffres énumérés dans l’article, AURES AUTO n’a pas un seul euro d’impayés mais les comptes arrêtés font état d’une dette de 583.000,00 euros non encore honorée par la Société Automobiles Citroën.
- Contrairement à ce qui a été rapporté dans l’article, il n’y a pas un stock de voitures invendues et tous les véhicules importés ont été vendus dans des délais raisonnables.
- Contrairement à ce qui a ce qui a été publié, le Conseil de la Concurrence n’a pas débouté AURES AUTO et le recours au fond est en cours d’instruction. La décision du 25 février 2021 a été rendue en matière de référé et a pour objet le refus d’ordonner des mesures conservatoires. Le conseil de la concurrence ne s’est pas encore prononcé sur le fond du litige.
- Contrairement aux affirmations citées par l’article, le Tribunal Administratif ne s’est pas encore prononcé sur la légalité de l’octroi, par le Ministre du commerce d’une autorisation à STAFIM Peugeot pour la commercialisation des voitures utilitaires de la marque Citroën. La décision rendue le 16 novembre 2021 concerne un référé tendant à obtenir un sursis à exécution et l’affaire est toujours enrôlée sous le N° 165386.