Réflexions politiques

Les complots des Frères musulmans se brisent sur les murs de Carthage

Les Frères musulmans se sont enracinés en Tunisie par le mouvement Ennahdha, qui contrôle de force une grande partie de la scène politique et des institutions étatiques.

Le pays est miné depuis 2011 avec ses partisans et ses disciples, jusqu’à ce que le cancer des Frères ait envahi le pays, en dépit du patriotisme des Tunisiens et des organisations qui tentent de faire face à ces plans et conspirations visant à autonomiser le groupe en Tunisie et à améliorer son image au sein de l’organisation terroriste des Frères musulmans dans le monde.

Aujourd’hui, le cheikh des Frères musulmans a tenté de cracher son poison sur la première personne du pays, c’est-à-dire le président élu de la république à plus de soixante-dix pour cent, il a donc prévu de prendre possession de la politique étrangère et de la diriger pour servir la communauté et s’aligner sur la Tunisie, derrière le calife ottoman dans son front colonial.

Cependant, le président Kais Saïed était toujours prudent et chaque fois il réussit à « gifler » les frères et leur cheikh.

Après que le mouvement ait désespéré de son plan et des complots qui ont éclaté sur les murs de Carthage, il a choisi de semer le chaos créatif à l’intérieur, qui est l’un des piliers de la philosophie du terrorisme, où il a encerclé et conspiré contre le premier ministre, qui est partie de celle-ci dans la plus grande hérésie politique, et lui rapporta les dossiers de corruption qui étaient en sa possession avant de lui accorder confiance et marchander avec lui par soumission.

Malgré toutes ces conspirations et prétendus succès, le mouvement est aujourd’hui entassé dans un coin sombre et son cheikh est menacé de destitution de la présidence du parlement, et il a de nouveau perdu l’initiative de choisir un nouveau Premier ministre après que la constitution tunisienne a rétabli la choix au président, et ainsi se brise tout son rêve de diriger et de former le gouvernement, mais il en sera à nouveau partie prenante, et il se peut qu’il se retrouve expulsé.

Les complots des frères musulmans sont brisés sur les murs de Carthage, et les Tunisiens profèrent ce qu’il en reste…

Ecrit par Nizar Jlidi: Ecrivain et analyste politique

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