
Le chef du Parti la coopération nationale libyenne, Idriss Mohammed Ahmed Jedk, a déclaré ce matin que « La Chambre des représentants et la Commission sont les seuls responsables morale et éthique de l’échec des élections qui été prévue le 24 décembre 2021.
Ils ont fait la sourde oreille devant les avis et conseils juridique proposés par les différentes composantes de la société et de la plupart des entités de la société civile libyenne et cela au mépris du principe du consensus et de l’aspect organisationnel des élections législatives, puis des élections présidentielles suivant une constitution ou une règle constitutionnelle efficace, en s’appuyant sur certaines des voix voisines de la communauté internationale, notamment de certains représentants des grands pays et les nations unis.
il a ajouté » la nouvelle date fixé par la commission n’est rien d’autre qu’une tentative d’évasion pour s’échapper de la situation embarrassante dans laquelle elle s’est trouvé et de créer une nouvelle opportunité de contournement et de tricherie. »
Dans sa déclaration, Jedk a appelé à la du Parlement et de la Comité de la Présidence pour leur échec délibéré et systématique. il réclame aussi la levée de l’immunité du Président du Parlement et ses membres , du Président du Bureau de la Haute Commission électorale et ses membres pour pouvoir les juger afin qu’ils servent d’exemple.
Il déclare que la rue libyenne les accusant de négligence délibérée n’étant pas à la hauteur des tâches qui leur sont confiées, au mépris de la volonté du nation libyenne.
Jedk continue sa déclatation par » À condition que le Président de la Cour suprême ou le Président du Conseil judiciaire suprême administrent les élections législatives d’abord conformément à une constitution ou à une règle constitutionnelle – comme indiqué précédemment – convenu – ou que les élections législatives se déroulent conformément à la règle constitutionnelle précédente , par lequel le parlement actuel a été élu. Pour ne pas continuer indéfiniment dans la farce des étapes de transition, sous le piétinement d’un parlement mort-né. »
Pour ne pas continuer indéfiniment la farce des étapes de transition, sous le piétinement d’un parlement mort-né.
Dr.. Idris Mohammed Ahmed Mohammed Al-Jedk
Président du Parti de la coopération nationale