
Il est à noter que la Cour d’appel de Tunis avait ouvert, le 15 octobre dernier, une enquête sur les déclarations de l’ancien président Moncef Marzouki, dans lesquelles, il a affirmé avoir cherché à compromettre la tenue du Sommet de la francophonie en Tunisie.
Selon le porte-parole de cette juridiction, Habib Torkhani, le procureur de la République près le tribunal de première instance de Tunis a autorisé l’ouverture de l’enquête sur la base d’une autorisation émise par la ministre de la justice, Leila Jaffel.