Réflexions politiques

Nizar Jlidi: Les Frères musulmans ou le cancer dont souffre la Tunisie depuis 2011

L’écrivain et analyste politique tunisien, Nizar Jlidi, a déclaré que malgré la mort du président Béji Caïd Essebsi, l’Etat tunisien continuera d’exister, notant que les institutions tunisiennes prouvent une fois de plus leur présence et jouent leur rôle au serment constitutionnel.

Lors d’un entretien sur la chaîne d’information Al-Ghad, avec Lina Muslim, Jlidi a affirmé que les institutions tunisiennes actuelles sont inébranlables en l’absence de la Cour constitutionnelle, et que les institutions de la l’Etat tunisien et ce que les fils de « Bourguiba » ont construit ont assuré une étape très importante aujourd’hui, comme il y a eu de grandes manœuvres.

Jlidi a expliqué que la Cour constitutionnelle est un outil de manœuvre utilisé par les Frères musulmans, décrivant le groupe comme un cancer qui est entré en Tunisie après 2011, soulignant que les Frères voulaient manœuvrer avec des lectures spéciales de la loi et un conseil spécial sous prétexte de l’absence de la Cour constitutionnelle, mais les institutions de l’Etat tunisien se sont défendues ainsi que l’Etat, soulignant que la Tunisie a tenu bon avec ses institutions.

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