dossier suivi par : fatma sassi
Dominique Galouzeau De Villepin, né le 14 novembre 1953 à Rabat Maroc est un homme d’état, diplomate, écrivain et avocat Français.
Dominique De Villepin est fils d’un expatrié devenu sénateur Xavier Galouzeau De Villepin et d’Yvone Hétier première conseillère de Tribunal administratif.
Il est né dans une famille de haute bourgeoisie, il passe la majeure partie de son enfance à l’étranger en Afrique et au Etats-Unis.
Il étudia au Etats-Unis, en Amérique Latine, pour qu’il rentre par la suite en France, il poursuit ses études à Toulouse ou il obtient son bac puis il obtient une licence de droit à l’université Paris II, pou qu’il se trouve à l’institut d’études politiques de Paris.
1980 à 1995 Dominique De Villepin débute sa carrière dans la diplomatie, durant cette période occupe plusieurs postes :
1980 De Villepin est secrétaire chargé de la corne d’Afrique, puis membre du centre d’analyse de prévision et de la stratégie du MAC en 1981, toujours ambitieux et actif pour qu’il devienne premier secrétaire à l’ambassade de France en 1984.
Rentré à Paris en 1992, il est promu directeur-adjoint aux affaires africaines et malgaches à Paris, trois ans plus tard, nommé par Jaque Chirac secrétaire général de la présidence de la république.
De Villepin est un proche collaborateur de Jaque Chirac il est nommé successivement ministre des affaires étrangères entre 2002 et 2004, là où il est considéré comme un visionnaire pour les uns pour son refus d’engager en 2003 la France dans la guerre d’Irak.
Le diplomate s’oppose avec le président Français à la guerre et prononce au conseil de sécurité des Nation Unies un discours dont il considère la guerre contre le terrorisme du président Américain George.W.Bush, maladroite et contre productive, et que le problème du terrorisme doit donc être résolu avec intelligence et non avec brutalité.
De 2004 à 2005 Jaque Chirac nomme Dominique De Villepin au ministre de l’intérieur, il occupe ces fonctions du 31 mars 2004 au 31 mai 2005 dont ses priorités étaient :
La modernisation des instruments de lutte contre le terrorisme
le démantèlement des réseaux de trafic contre le drogue
la lutte contre la cybercriminalité
la sécurité des mineurs
la lutte contre les actes racistes et antisémites
la promotion de l’égalité des chances
2005 à 2007 Dominique De Villepin sera nommé Premier ministre en remplacement de Jean Pierre Raffarin, durant son mandat en tant que premier ministre, le chômage connait une baisse continue ainsi que la croissance de la France est en hausse, mais Il est alors opposé de manière frontale à Nicolas Sarkozy qui briguait la fonction.
De 2008 à 2011, il est impliqué dans l’affaire dite « Clearstream » et sera relaxé par deux fois. Il prend alors ses distances avec la politique et se consacre à une carrière d’avocat et de conférencier à l’international.
En 2012, Dominique de Villepin annonce sa volonté de se présenter à l’élection présidentielle mais il abandonnera finalement, faute d’avoir pu réunir les 500 parrainages.
2013, Dominique de Villepin devient président de comité de conseil international de l’agence de notation financière Universal Credit Rating Group, pour qu’il passe en 2015 d’un simple avocat à une société de nature commerciale aux activités multiples, notamment le lobbying international.
Son réseau, en Chine, au Venezuela ou encore au Qatar, lui permet d’intervenir dans le flux d’affaire entre pays émergents.
2017 il vote pour Emmanuel Macron pour l’élection présidentielle.
